pouët.net

Voila, bonnes fetes. Internet est fermé jusqu'a Janvier, revenez dans 10 jours (sans phrases livresques ni attaques croisées)

Allez, une dernière pour la route!

et voila, encore... une phrase toute faite qui ne veut rien dire et ne repose sur rien, ou tu expliques aux gens actifs de la scene ce qu'est la scene. Ca me dépasse ca :)

je suis trop client de ce genre de gars.. ah tiens il fait du warez de gay pour quake

si vous voulez voir du xmas offensif, matez le dernier épisode de nip tuck, tous les tabous tombent =)

christine boutin aussi, elle fait partie de la scène.

christine boutin elle fait partie de la scène straight edge parisienne.

Et Régis Robert ?

lui il fait comme Jylam.

Bon, j'ai vu le reportage dans Tracks, et euh, je vais éviter les commentaires.

Enfin, si. C'est lamentable.

ben les gars ca a causé sévère depuis hier soir !! :)

allez hop, on plie les gaules, et on part en vacances. Salut la poiscaille !
Et bonnes fêtes !

Bonnes fêtes à toi, Fara. :)

Le sujet de Tracks est en ligne :
http://video.google.fr/videoplay?docid=7689143296366124509

nous pourrons mieux en causer après l'avoir revu même si c'est plié pour certains.

Nan mais attendez les gars partez pas encore !
Excellentissime, lu dans un article de Telerama à propos des clubs londoniens, il fallait que je poste ça vant de partir :)

BASS ! :D

Après avoir revu le sujet de Tracks :

Il clair qu'il y a une dérive trop prononcé entre demoscene et hacking dans le mauvais sens du terme, avec une exposition ce ce mot dans le sens etatsuniens, c'est dommage. Nous avions pourtant organisé un atelier d'initiation au circuit bending qui aurait pu donner une définition relative du hacking.

Pour ce qui est de la demoscene, l'essentiel y est et si l'on coupe la séquence sensationelle "fbi" le sujet est bien pour une chaîne de TV hertzienne publique. Mais je pense que Tracks était là pour faire une passerelle entre demoscene et amélioration de l'innovation, une autre définition de hacking.

Les interviews de H2o, de Havoc sont pédagogiques et explicites quand à l'engagement dans la Scene.

Et enfin, si l'on se situe par rapport aux autres sujets de l'émission du 20/12, les demomakers sont à l'honneur et le discours est clair et intelligent.

------> faire sa propre TV et être entièrement satisfait du contenu : une raison de plus pour adhérer au projet de développement de demoscene.tv

J'ai justement, en parlant de ca, fait un post sur leur forum. J'trouve ca inadmissible qu'un mix de ce genre soit fait. Mais bon, trop tard, mais le post est fait depuis quelques jours deja.
http://www.arte.tv/forum/showthread.php?t=7343

Et maintenant, Miss France... Ah décidément, en France on a le diable au corps !

Cybernostra: Evidemment, ce qui m'afflige le plus dans ce documentaire, c'est le manque complet de cohérence. Et ce manque de cohérence est en grande partie dûe à un parallèle douteux avec la pseudo origine de la demoscene.

En réalité, et j'en suis persuadé, la demoscene n'est pas réellement née de la scène crack, où pas dans le sens qu'on l'entend. Le cracking, c'était une activité bien spécifique qui, dans le fond, ne nécessitait pas des compétences hallucinantes en programmation, mais plutôt une bonne connaissance des mécanismes de protection, et de la façon de les éradiquer.

Ce sont souvent des personnes/des potes des crackers qui n'avaient rien à voir avec le cracking qui codaient ces petites intros "bootblock" (ou K7 block sur C64 ou CPC464), histoire de faire des trucs sympas qui, au fond, s'inspiraient du monde la 3D pure, et du jeu (leur première inspiration d'ailleurs)...
Ca a toujours fait partie du monde l'informatique de créer des trucs inutiles et ludiques, comme une facétie.

Je pense donc que, même sans le monde du crack, l'activité "demoscene" aurait émergé d'elle même, par pure esprit de création, au même titre que le jeu.

C'est pour ça que, dans le documentaire, l'allusion à l'origine de la demoscene comme émergeant strictement du crack est douteuse mais ça passe... En revanche, glisser vers le hacking (ce qui, réellement, n'a rien à voir), ça devient du n'importe quoi d'autant que ça implique les gens qui se trouvent dans ce documentaire, et membres organisateurs de l'évènement.

J'ai bien aimé le gars (je sais plus qui) qui disait : ce qui est bien dans la scene, c'est qu'il n'y a aucun but.
JUst du fun :)

Ce phénomène est lié à l'apparition et à la démocratisation de l'ordinateur personnel dans les années 70 (et même avant dans les années 60 au MIT ou les étudiants avait accès au ordinateurs et s'en servaient pour créer des programmes personnels),
et a d'abord pris forme aux USA (les premiers à avoir eu accès au ordinateurs de masse, qui auparavant était des machines très couteuse réservés au universités et à l'armée) dans un contexte comme le HCC (Homebrew Computer Club),
c'est de là qu'est partie l'idée de créer l'apple (Steve Wozniak et Steve Jobs était membres mais n'avait pas assez de fric pour s'acheter un altair alors ils ont décidé de construire leurs propre ordi).
Le principe/phénomène de signatures visuelles à émergé sur l'apple 2 et a explosé avec l'arrivé du C64.

La demoscene est une branche de la culture "hacker" (tout comme le déplombage de logiciels, le "cracking"), de la bidouille en somme.

Pour plus d'infos allez jeter un oeil sur ce bouquin (et plus précisément le chapitre 5):

http://home.c2i.net/nirgendwo/cdne/mainindex.htm

Programmer avec créativité c'est hacker alors ?
Moi qui pensais qu'il s'agissait d'exploiter des failles.